Le Miracle
Eucharistique de Lanciano
Le plus connu des miracles Eucharistique est, sans doute, celui de Lanciano, petite ville, en Italie, à quelques kilomètres de la mer Adriatique. Ce miracle eût lieu au début du 7 ème siècle.
Le plus connu des miracles Eucharistique est, sans doute, celui de Lanciano, petite ville, en Italie, à quelques kilomètres de la mer Adriatique. Ce miracle eût lieu au début du 7 ème siècle.
Voici donc ce remarquable récit : "Un moine basilien, sage sur les
choses du monde mais moins sur les choses de la foi, passait par un moment
difficile dans sa perception de la réelle présence de Notre Seigneur
Jésus-Christ dans l’Eucharistie. Il priait constamment pour le soulagement
de ses doutes; celui-ci effectivement doutait et se trouvait consumé
d’effroi de perdre un jour sa vocation. Son martyre était très pénible et
il souffrait quotidiennement de la routine de son sacerdoce. La grâce
Divine ne l'abandonna pas, car Dieu le Père, dans sa Miséricorde Infinie,
le sortit des ténèbres avec la même grâce accordée à l'apôtre
Saint-Thomas.
Finalement un
matin, pendant la célébration de la Messe, sujet à une grande attaque de
doutes, il commença la Consécration devant les habitants d’un village
voisin. Soudainement après la Consécration du Pain et du Vin, ce qu’il vit
sur l’autel le fit trembler des mains. Il resta interdit, le dos tourné
aux fidèles, pendant un moment qui sembla aux paroissiens une éternité,
puis, doucement il se tourna vers eux et leur dit : "O témoins heureux à
qui le Dieu Béni, pour contredire mon incrédulité, a voulu se révéler Lui-Même dans ce béni Sacrement et Se rendre visible à nos yeux. Venez
voir notre Dieu si près de nous. Voici la Chair et le Sang de
Jésus-Christ, notre Bien-Aimé."
En effet, l’Hostie s’était transformée en
Chair et le Vin en Sang ! Les fidèles, ayant témoigné du miracle, commencèrent à
pleurer, en demandant pardon, et en suppliant miséricorde. Certains se
frappèrent la poitrine, en confessant leurs péchés et en se déclarant indignes
de témoigner de ce miracle, d’autres encore s’agenouillèrent en respect et en
remerciement pour le cadeau que Dieu leur avait offert. Ce jour même, la rumeur
du miracle parcourut tout le village comme un feu embrase une forêt et, tout
aussi vite, les villages voisins jusqu’au Saint-Siège même."
Jésus leur répondit: "En vérité je vous le dit,
celui qui mange ma chair et boit mon sang,
possède la vie éternelle, et moi, je le
ressusciterai au dernier jour. Celui qui
mange ce pain vivra éternellement." (Jean 6, 53-59)
Certes, "le don" de Lanciano était adressé au bon
moine italien, au peuple du petit village et aux hommes de ce temps, mais aussi
aux hommes de toutes les nations du monde et de toutes générations à venir, car
ce qui est le plus remarquable, est la continuité même de ce miracle, un
miracle qui demeura visible pour tous pendant une période de plus de 1297 ans,
sans, toutefois, le moindre usage d’un quelconque produit de conservation ou
substance chimique permettant à la Chair et au Sang de rester frais, car oui,
la Sainte Hostie, transformée en Chair, et le Vin transformé en Sang, sont
demeurés, pendant plus de douze siècles, parfaitement intacts.
Le sang est réel. Il est composé de cinq caillots
inégaux, mais chacun d'eux pèse exactement
le poids des cinq caillots pris ensembles,
soit 15,85 grammes.
1. Le sang du miracle eucharistique est du vrai sang et la chair, de la vraie chair.
5. Aucune trace de matières ou d'agents de conservations ne fut détectés dans la chair ou le sang.
En 1970, 1971 et plus tard en 1981, une investigation
scientifique fut encouragée par l’Eglise Catholique. L’illustre professeur et
docteur Odoardo Linoli, professeur d’Anatomie, d’Histologie Pathologique, de
Chimie et de Microscopie Clinique et médecin en chef de l'ensemble des hôpitaux
d'Arezzo, commença une longue série d’analyses et de tests afin de déterminer
l’exacte nature du dit miracle. Il fut assisté par le docteur Ruggero Bertelli,
professeur émérite du département d'anatomie de l'Université de Sienne. Les
investigations furent toutes menées avec des procédures de haute gamme
technologique dont les observations furent largement confirmées par une série
de photographies prises au microscope. Les analyses, une fois terminées,
permirent les conclusions suivantes:
1. Le sang du miracle eucharistique est du vrai sang et la chair, de la vraie chair.
2. La chair est constituée de tissus du muscle cardiaque. La
manière dont cette tranche de chair a été obtenue par dissection dans le
myocarde suppose une habileté exceptionnelle de la part du
"Praticien".
3. Le type sanguin est le même dans la chair et dans les
globules de sang, AB.
(Note : Type sanguin identique à celui trouvé par le
Professeur Baima Bollone sur le Saint Suaire de Turin). Plusieurs minéraux ont
été trouvés dans le sang: chlorites, phosphores, magnésium, potassium, sodium
et calcium. Il fut trouvé des protéines dans les mêmes proportions normales qui
sont trouvées dans les sero-protéiques de sang courant.
4. Le diagramme de ce sang correspond à celui d'un sang
humain qui aurait été prélevé sur un corps humain dans la même journée. Le sang
est réel. Il est composé de cinq caillots inégaux, mais chacun d'eux pèse
exactement le poids des cinq caillots pris ensembles, soit 15,85 grammes.
5. Aucune trace de matières ou d'agents de conservations ne fut détectés dans la chair ou le sang.
La chair apparut autour de l'hostie. Au cours des
siècles, l'hostie est disparue, ne laissant que la
chair, identifiée par des scientifiques comme du
tissu provenant du muscle cardiaque. Il ne s'y
trouve aucune trace d'agents de conservation tels
qu'utilisés pour momifier.
La préservation de la Chair et du Sang, qui furent exposés
dans leur état naturel, sans le moindre moyen de quelconque forme de
préservation, pendant douze siècles à l’action d’agents atmosphériques et
biologiques, constituent un extraordinaire phénomène, scientifiquement
inexplicable, et que tous les résultats d’analyse constituent une violation
absolue des lois de la physique.
Le témoignage scientifique confirme ce que nous croyons par
la foi et ce que l'Église Catholique nous enseigne depuis 2000 ans, faisant
ainsi écho aux paroles de Jésus-Christ: "En vérité je vous le dit, celui
qui mange ma chair et boit mon sang, possède la vie éternelle, et moi, je le
ressusciterai au dernier jour. Celui qui mange ce pain vivra
éternellement." (Jean 6, 53-59)
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